Solo de cirque, tragique, musical et burlesque.
C’est l’opéra Carmen d’après les souvenirs d’un excentrique.
C’est l’exploration du violon comme agrès par un porteur.
Le spectacle se résume, peut-être, à suivre les pérégrinations physiques, mentales et émotionnelles d’un personnage à l’image de son violon, capable de fougue et d’une puissance hors du commun, mais à la fois terriblement fragile et sensible, essayant de jouer Carmen.
Où le comique mène à la tragédie, où la fatalité est la clef, et la liberté l’enjeu principal.