Kim est roue-cyriste et Liam trapéziste pas trop fixe, mais il n’y aura ni l’un ni l’autre dans ce spectacle.
Nous assisterons à une traversée, une longue marche à deux, qui tourne en rond sans destination précise.
Une succession de portés emmêlés, en perpétuel jeu avec l’épuisement. On y verra des formes corporelles biscornues, tordues, des bouts de corps qui disparaissent dans l’illusion qu’il manque quelque chose ou justement qu’il y en a trop…
À qui appartient cette jambe, ce bras ? Un univers sans artifice, un travail avec la matière pure, le corps.